L’était pas fier le Charles Edouard (mon mouton de compagnie). C’est pourtant simple à faire, Je me mets à genoux, y me saute sur le dos, je me relève, bon d’accord, là il y a un moment délicat, après fastoche. Il était tellement détendu, qu’il me bouffe « le poil sur le dos », alors que normalement, ce sont les moutons qui se font bouffer « la laine sur le dos », faut dire mes braves gens qu’on vit une drôle d’époque… On sait plus très bien qui bouffe quoi…
Pompon, bougre d'âne.